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Paul, appelé à être apôtre de Jésus Christ par la
volonté de Dieu, et le frère Sosthène,
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à l'Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont
été sanctifiés en Jésus Christ, appelés à être saints, et
à tous ceux qui invoquent en quelque lieu que ce soit le
nom de notre Seigneur Jésus Christ, leur Seigneur et le
nôtre :
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que la grâce et la paix vous soient données de la part
de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ !
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Je rends à mon Dieu de continuelles actions de grâces
à votre sujet, pour la grâce de Dieu qui vous a été
accordée en Jésus Christ.
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Car en lui vous avez été comblés de toutes les
richesses qui concernent la parole et la
connaissance,
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le témoignage de Christ ayant été solidement établi
parmi vous,
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de sorte qu'il ne vous manque aucun don, dans
l'attente où vous êtes de la manifestation de notre
Seigneur Jésus Christ.
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Il vous affermira aussi jusqu'à la fin, pour que vous
soyez irréprochables au jour de notre Seigneur Jésus
Christ.
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Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion
de son Fils, Jésus Christ notre Seigneur.
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Je vous exhorte, frères, par le nom de notre Seigneur
Jésus Christ, à tenir tous un même langage, et à ne point
avoir de divisions parmi vous, mais à être parfaitement
unis dans un même esprit et dans un même sentiment.
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Car, mes frères, j'ai appris à votre sujet, par les
gens de Chloé, qu'il y a des disputes au milieu de
vous.
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Je veux dire que chacun de vous parle ainsi : Moi, je
suis de Paul ! et moi, d'Apollos ! et moi, de Céphas ! et
moi, de Christ !
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Christ est-il divisé ? Paul a-t-il été crucifié pour
vous, ou est-ce au nom de Paul que vous avez été baptisés
?
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Je rends grâces à Dieu de ce que je n'ai baptisé aucun
de vous, excepté Crispus et Gaïus,
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afin que personne ne dise que vous avez été baptisés
en mon nom.
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J'ai encore baptisé la famille de Stéphanas ; du
reste, je ne sache pas que j'aie baptisé quelque autre
personne.
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Ce n'est pas pour baptiser que Christ m'a envoyé,
c'est pour annoncer l'Évangile, et cela sans la sagesse
du langage, afin que la croix de Christ ne soit pas
rendue vaine.
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Car la prédication de la croix est une folie pour ceux
qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle
est une puissance de Dieu.
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Aussi est-il écrit : Je détruirai la sagesse des
sages, Et j'anéantirai l'intelligence des
intelligents.
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Où est le sage ? où est le scribe ? où est le
disputeur de ce siècle ? Dieu n'a-t-il pas convaincu de
folie la sagesse du monde ?
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Car puisque le monde, avec sa sagesse, n'a point connu
Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver
les croyants par la folie de la prédication.
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Les Juifs demandent des miracles et les Grecs
cherchent la sagesse :
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nous, nous prêchons Christ crucifié ; scandale pour
les Juifs et folie pour les païens,
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mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux
qui sont appelés, tant Juifs que Grecs.
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Car la folie de Dieu est plus sage que les hommes, et
la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes.
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Considérez, frères, que parmi vous qui avez été
appelés il n'y a ni beaucoup de sages selon la chair, ni
beaucoup de puissants, ni beaucoup de nobles.
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Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour
confondre les sages ; Dieu a choisi les choses faibles du
monde pour confondre les fortes ;
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et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles
qu'on méprise, celles qui ne sont point, pour réduire à
néant celles qui sont,
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afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu.
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Or, c'est par lui que vous êtes en Jésus Christ,
lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse,
justice et sanctification et rédemption,
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afin, comme il est écrit, Que celui qui se glorifie se
glorifie dans le Seigneur.
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Pour moi, frères, lorsque je suis allé chez vous, ce
n'est pas avec une supériorité de langage ou de sagesse
que je suis allé vous annoncer le témoignage de Dieu.
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Car je n'ai pas eu la pensée de savoir parmi vous
autre chose que Jésus Christ, et Jésus Christ
crucifié.
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Moi-même j'étais auprès de vous dans un état de
faiblesse, de crainte, et de grand tremblement ;
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et ma parole et ma prédication ne reposaient pas sur
les discours persuasifs de la sagesse, mais sur une
démonstration d'Esprit et de puissance,
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afin que votre foi fût fondée, non sur la sagesse des
hommes, mais sur la puissance de Dieu.
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Cependant, c'est une sagesse que nous prêchons parmi
les parfaits, sagesse qui n'est pas de ce siècle, ni des
chefs de ce siècle, qui vont être anéantis ;
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nous prêchons la sagesse de Dieu, mystérieuse et
cachée, que Dieu, avant les siècles, avait destinée pour
notre gloire,
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sagesse qu'aucun des chefs de ce siècle n'a connue,
car, s'ils l'eussent connue, ils n'auraient pas crucifié
le Seigneur de gloire.
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Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que
l'oeil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues,
et qui ne sont point montées au coeur de l'homme, des
choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment.
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Dieu nous les a révélées par l'Esprit. Car l'Esprit
sonde tout, même les profondeurs de Dieu.
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Lequel des hommes, en effet, connaît les choses de
l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui ?
De même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce
n'est l'Esprit de Dieu.
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Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais
l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions
les choses que Dieu nous a données par sa grâce.
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Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne
la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit,
employant un langage spirituel pour les choses
spirituelles.
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Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de
l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et
il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement
qu'on en juge.
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L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il
n'est lui-même jugé par personne.
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Car Qui a connu la pensée du Seigneur, Pour
l'instruire ? Or nous, nous avons la pensée de
Christ.
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Pour moi, frères, ce n'est pas comme à des hommes
spirituels que j'ai pu vous parler, mais comme à des
hommes charnels, comme à des enfants en Christ.
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Je vous ai donné du lait, non de la nourriture solide,
car vous ne pouviez pas la supporter ; et vous ne le
pouvez pas même à présent, parce que vous êtes encore
charnels.
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En effet, puisqu'il y a parmi vous de la jalousie et
des disputes, n'êtes-vous pas charnels, et ne
marchez-vous pas selon l'homme ?
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Quand l'un dit : Moi, je suis de Paul ! et un autre :
Moi, d'Apollos ! n'êtes-vous pas des hommes ?
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Qu'est-ce donc qu'Apollos, et qu'est-ce que Paul ? Des
serviteurs, par le moyen desquels vous avez cru, selon
que le Seigneur l'a donné à chacun.
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J'ai planté, Apollos a arrosé, mais Dieu a fait
croître,
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en sorte que ce n'est pas celui qui plante qui est
quelque chose, ni celui qui arrose, mais Dieu qui fait
croître.
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Celui qui plante et celui qui arrose sont égaux, et
chacun recevra sa propre récompense selon son propre
travail.
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Car nous sommes ouvriers avec Dieu. Vous êtes le champ
de Dieu, l'édifice de Dieu.
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Selon la grâce de Dieu qui m'a été donnée, j'ai posé
le fondement comme un sage architecte, et un autre bâtit
dessus. Mais que chacun prenne garde à la manière dont il
bâtit dessus.
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Car personne ne peut poser un autre fondement que
celui qui a été posé, savoir Jésus Christ.
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Or, si quelqu'un bâtit sur ce fondement avec de l'or,
de l'argent, des pierres précieuses, du bois, du foin, du
chaume, l'oeuvre de chacun sera manifestée ;
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car le jour la fera connaître, parce qu'elle se
révèlera dans le feu, et le feu éprouvera ce qu'est
l'oeuvre de chacun.
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Si l'oeuvre bâtie par quelqu'un sur le fondement
subsiste, il recevra une récompense.
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Si l'oeuvre de quelqu'un est consumée, il perdra sa
récompense ; pour lui, il sera sauvé, mais comme au
travers du feu.
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Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et
que l'Esprit de Dieu habite en vous ?
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Si quelqu'un détruit le temple de Dieu, Dieu le
détruira ; car le temple de Dieu est saint, et c'est ce
que vous êtes.
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Que nul ne s'abuse lui-même : si quelqu'un parmi vous
pense être sage selon ce siècle, qu'il devienne fou, afin
de devenir sage.
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Car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu.
Aussi est-il écrit : Il prend les sages dans leur
ruse.
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Et encore : Le Seigneur connaît les pensées des sages,
Il sait qu'elles sont vaines.
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Que personne donc ne mette sa gloire dans des hommes ;
car tout est à vous,
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soit Paul, soit Apollos, soit Céphas, soit le monde,
soit la vie, soit la mort, soit les choses présentes,
soit les choses à venir.
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Tout est à vous ; et vous êtes à Christ, et Christ est
à Dieu.
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Ainsi, qu'on nous regarde comme des serviteurs de
Christ, et des dispensateurs des mystères de Dieu.
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Du reste, ce qu'on demande des dispensateurs, c'est
que chacun soit trouvé fidèle.
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Pour moi, il m'importe fort peu d'être jugé par vous,
ou par un tribunal humain. Je ne me juge pas non plus
moi-même, car je ne me sens coupable de rien ;
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mais ce n'est pas pour cela que je suis justifié.
Celui qui me juge, c'est le Seigneur.
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C'est pourquoi ne jugez de rien avant le temps,
jusqu'à ce que vienne le Seigneur, qui mettra en lumière
ce qui est caché dans les ténèbres, et qui manifestera
les desseins des coeurs. Alors chacun recevra de Dieu la
louange qui lui sera due.
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|
C'est à cause de vous, frères, que j'ai fait de ces
choses une application à ma personne et à celle
d'Apollos, afin que vous appreniez en nos personnes à ne
pas aller au delà de ce qui est écrit, et que nul de vous
ne conçoive de l'orgueil en faveur de l'un contre
l'autre.
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Car qui est-ce qui te distingue ? Qu'as-tu que tu
n'aies reçu ? Et si tu l'as reçu, pourquoi te
glorifies-tu, comme si tu ne l'avais pas reçu ?
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Déjà vous êtes rassasiés, déjà vous êtes riches, sans
nous vous avez commencé à régner. Et puissiez-vous régner
en effet, afin que nous aussi nous régnions avec vous
!
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Car Dieu, ce me semble, a fait de nous, apôtres, les
derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque
sorte, puisque nous avons été en spectacle au monde, aux
anges et aux hommes.
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Nous sommes fous à cause de Christ ; mais vous, vous
êtes sages en Christ ; nous sommes faibles, mais vous
êtes forts. Vous êtes honorés, et nous sommes méprisés
!
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Jusqu'à cette heure, nous souffrons la faim, la soif,
la nudité ; nous sommes maltraités, errants çà et là
;
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nous nous fatiguons à travailler de nos propres mains
; injuriés, nous bénissons ; persécutés, nous supportons
;
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calomniés, nous parlons avec bonté ; nous sommes
devenus comme les balayures du monde, le rebut de tous,
jusqu'à maintenant.
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Ce n'est pas pour vous faire honte que j'écris ces
choses ; mais je vous avertis comme mes enfants
bien-aimés.
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Car, quand vous auriez dix mille maîtres en Christ,
vous n'avez cependant pas plusieurs pères, puisque c'est
moi qui vous ai engendrés en Jésus Christ par
l'Évangile.
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Je vous en conjure donc, soyez mes imitateurs.
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Pour cela je vous ai envoyé Timothée, qui est mon
enfant bien-aimé et fidèle dans le Seigneur ; il vous
rappellera quelles sont mes voies en Christ, quelle est
la manière dont j'enseigne partout dans toutes les
Églises.
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Quelques-uns se sont enflés d'orgueil, comme si je ne
devais pas aller chez vous.
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Mais j'irai bientôt chez vous, si c'est la volonté du
Seigneur, et je connaîtrai, non les paroles, mais la
puissance de ceux qui se sont enflés.
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Car le royaume de Dieu ne consiste pas en paroles,
mais en puissance.
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Que voulez-vous ? Que j'aille chez vous avec une
verge, ou avec amour et dans un esprit de douceur ?
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On entend dire généralement qu'il y a parmi vous de
l'impudicité, et une impudicité telle qu'elle ne se
rencontre pas même chez les païens ; c'est au point que
l'un de vous a la femme de son père.
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Et vous êtes enflés d'orgueil ! Et vous n'avez pas été
plutôt dans l'affliction, afin que celui qui a commis cet
acte fût ôté du milieu de vous !
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Pour moi, absent de corps, mais présent d'esprit, j'ai
déjà jugé, comme si j'étais présent, celui qui a commis
un tel acte.
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Au nom du Seigneur Jésus, vous et mon esprit étant
assemblés avec la puissance de notre Seigneur Jésus,
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qu'un tel homme soit livré à Satan pour la destruction
de la chair, afin que l'esprit soit sauvé au jour du
Seigneur Jésus.
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C'est bien à tort que vous vous glorifiez. Ne
savez-vous pas qu'un peu de levain fait lever toute la
pâte ?
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Faites disparaître le vieux levain, afin que vous
soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain,
car Christ, notre Pâque, a été immolé.
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Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non
avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les
pains sans levain de la pureté et de la vérité.
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Je vous ai écrit dans ma lettre de ne pas avoir des
relations avec les impudiques, -
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non pas d'une manière absolue avec les impudiques de
ce monde, ou avec les cupides et les ravisseurs, ou avec
les idolâtres ; autrement, il vous faudrait sortir du
monde.
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|
Maintenant, ce que je vous ai écrit, c'est de ne pas
avoir des relations avec quelqu'un qui, se nommant frère,
est impudique, ou cupide, ou idolâtre, ou outrageux, ou
ivrogne, ou ravisseur, de ne pas même manger avec un tel
homme.
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Qu'ai-je, en effet, à juger ceux du dehors ? N'est-ce
pas ceux du dedans que vous avez à juger ?
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Pour ceux du dehors, Dieu les juge. Otez le méchant du
milieu de vous.
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Quelqu'un de vous, lorsqu'il a un différend avec un
autre, ose-t-il plaider devant les injustes, et non
devant les saints ?
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Ne savez-vous pas que les saints jugeront le monde ?
Et si c'est par vous que le monde est jugé, êtes-vous
indignes de rendre les moindres jugements ?
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Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? Et
nous ne jugerions pas, à plus forte raison, les choses de
cette vie ?
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Quand donc vous avez des différends pour les choses de
cette vie, ce sont des gens dont l'Église ne fait aucun
cas que vous prenez pour juges !
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Je le dis à votre honte. Ainsi il n'y a parmi vous pas
un seul homme sage qui puisse prononcer entre ses
frères.
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Mais un frère plaide contre un frère, et cela devant
des infidèles !
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C'est déjà certes un défaut chez vous que d'avoir des
procès les uns avec les autres. Pourquoi ne souffrez-vous
pas plutôt quelque injustice ? Pourquoi ne vous
laissez-vous pas plutôt dépouiller ?
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Mais c'est vous qui commettez l'injustice et qui
dépouillez, et c'est envers des frères que vous agissez
de la sorte !
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Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront point
le royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : ni les
impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères,
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ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni
les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les
ravisseurs, n'hériteront le royaume de Dieu.
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|
Et c'est là ce que vous étiez, quelques-uns de vous.
Mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés,
mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus
Christ, et par l'Esprit de notre Dieu.
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|
Tout m'est permis, mais tout n'est pas utile ; tout
m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi
que ce soit.
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|
Les aliments sont pour le ventre, et le ventre pour
les aliments ; et Dieu détruira l'un comme les autres.
Mais le corps n'est pas pour l'impudicité. Il est pour le
Seigneur, et le Seigneur pour le corps.
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Et Dieu, qui a ressuscité le Seigneur, nous
ressuscitera aussi par sa puissance.
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Ne savez-vous pas que vos corps sont des membres de
Christ ? Prendrai-je donc les membres de Christ, pour en
faire les membres d'une prostituée ?
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Loin de là ! Ne savez-vous pas que celui qui s'attache
à la prostituée est un seul corps avec elle ? Car, est-il
dit, les deux deviendront une seule chair.
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Mais celui qui s'attache au Seigneur est avec lui un
seul esprit.
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|
Fuyez l'impudicité. Quelque autre péché qu'un homme
commette, ce péché est hors du corps ; mais celui qui se
livre à l'impudicité pèche contre son propre corps.
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|
Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du
Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu,
et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ?
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Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez
donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui
appartiennent à Dieu.
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Pour ce qui concerne les choses dont vous m'avez
écrit, je pense qu'il est bon pour l'homme de ne point
toucher de femme.
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Toutefois, pour éviter l'impudicité, que chacun ait sa
femme, et que chaque femme ait son mari.
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Que le mari rende à sa femme ce qu'il lui doit, et que
la femme agisse de même envers son mari.
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La femme n'a pas autorité sur son propre corps, mais
c'est le mari ; et pareillement, le mari n'a pas autorité
sur son propre corps, mais c'est la femme.
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Ne vous privez point l'un de l'autre, si ce n'est d'un
commun accord pour un temps, afin de vaquer à la prière ;
puis retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente
par votre incontinence.
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Je dis cela par condescendance, je n'en fais pas un
ordre.
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Je voudrais que tous les hommes fussent comme moi ;
mais chacun tient de Dieu un don particulier, l'un d'une
manière, l'autre d'une autre.
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A ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis
qu'il leur est bon de rester comme moi.
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Mais s'ils manquent de continence, qu'ils se marient ;
car il vaut mieux se marier que de brûler.
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A ceux qui sont mariés, j'ordonne, non pas moi, mais
le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son
mari
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(si elle est séparée, qu'elle demeure sans se marier
ou qu'elle se réconcilie avec son mari), et que le mari
ne répudie point sa femme.
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Aux autres, ce n'est pas le Seigneur, c'est moi qui
dis : Si un frère a une femme non-croyante, et qu'elle
consente à habiter avec lui, qu'il ne la répudie point
;
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et si une femme a un mari non-croyant, et qu'il
consente à habiter avec elle, qu'elle ne répudie point
son mari.
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|
Car le mari non-croyant est sanctifié par la femme, et
la femme non-croyante est sanctifiée par le frère ;
autrement, vos enfants seraient impurs, tandis que
maintenant ils sont saints.
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Si le non-croyant se sépare, qu'il se sépare ; le
frère ou la soeur ne sont pas liés dans ces cas-là. Dieu
nous a appelés à vivre en paix.
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Car que sais-tu, femme, si tu sauveras ton mari ? Ou
que sais-tu, mari, si tu sauveras ta femme ?
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Seulement, que chacun marche selon la part que le
Seigneur lui a faite, selon l'appel qu'il a reçu de Dieu.
C'est ainsi que je l'ordonne dans toutes les Églises.
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Quelqu'un a-t-il été appelé étant circoncis, qu'il
demeure circoncis ; quelqu'un a-t-il été appelé étant
incirconcis, qu'il ne se fasse pas circoncire.
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|
La circoncision n'est rien, et l'incirconcision n'est
rien, mais l'observation des commandements de Dieu est
tout.
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Que chacun demeure dans l'état où il était lorsqu'il a
été appelé.
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As-tu été appelé étant esclave, ne t'en inquiète pas ;
mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt.
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Car l'esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un
affranchi du Seigneur ; de même, l'homme libre qui a été
appelé est un esclave de Christ.
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Vous avez été rachetés à un grand prix ; ne devenez
pas esclaves des hommes.
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Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l'état où
il était lorsqu'il a été appelé.
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Pour ce qui est des vierges, je n'ai point d'ordre du
Seigneur ; mais je donne un avis, comme ayant reçu du
Seigneur miséricorde pour être fidèle.
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Voici donc ce que j'estime bon, à cause des temps
difficiles qui s'approchent : il est bon à un homme
d'être ainsi.
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Es-tu lié à une femme, ne cherche pas à rompre ce lien
; n'es-tu pas lié à une femme, ne cherche pas une
femme.
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Si tu t'es marié, tu n'as point péché ; et si la
vierge s'est mariée, elle n'a point péché ; mais ces
personnes auront des tribulations dans la chair, et je
voudrais vous les épargner.
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Voici ce que je dis, frères, c'est que le temps est
court ; que désormais ceux qui ont des femmes soient
comme n'en ayant pas,
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ceux qui pleurent comme ne pleurant pas, ceux qui se
réjouissent comme ne se réjouissant pas, ceux qui
achètent comme ne possédant pas,
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et ceux qui usent du monde comme n'en usant pas, car
la figure de ce monde passe.
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Or, je voudrais que vous fussiez sans inquiétude.
Celui qui n'est pas marié s'inquiète des choses du
Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur ;
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et celui qui est marié s'inquiète des choses du monde,
des moyens de plaire à sa femme.
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Il y a de même une différence entre la femme et la
vierge : celle qui n'est pas mariée s'inquiète des choses
du Seigneur, afin d'être sainte de corps et d'esprit ; et
celle qui est mariée s'inquiète des choses du monde, des
moyens de plaire à son mari.
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Je dis cela dans votre intérêt ; ce n'est pas pour
vous prendre au piège, c'est pour vous porter à ce qui
est bienséant et propre à vous attacher au Seigneur sans
distraction.
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Si quelqu'un regarde comme déshonorant pour sa fille
de dépasser l'âge nubile, et comme nécessaire de la
marier, qu'il fasse ce qu'il veut, il ne pèche point ;
qu'on se marie.
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Mais celui qui a pris une ferme résolution, sans
contrainte et avec l'exercice de sa propre volonté, et
qui a décidé en son coeur de garder sa fille vierge,
celui-là fait bien.
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Ainsi, celui qui marie sa fille fait bien, et celui
qui ne la marie pas fait mieux.
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Une femme est liée aussi longtemps que son mari est
vivant ; mais si le mari meurt, elle est libre de se
marier à qui elle veut ; seulement, que ce soit dans le
Seigneur.
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Elle est plus heureuse, néanmoins, si elle demeure
comme elle est, suivant mon avis. Et moi aussi, je crois
avoir l'Esprit de Dieu.
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Pour ce qui concerne les viandes sacrifiées aux
idoles, nous savons que nous avons tous la connaissance.
-La connaissance enfle, mais la charité édifie.
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Si quelqu'un croit savoir quelque chose, il n'a pas
encore connu comme il faut connaître.
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Mais si quelqu'un aime Dieu, celui-là est connu de
lui. -
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Pour ce qui est donc de manger des viandes sacrifiées
aux idoles, nous savons qu'il n'y a point d'idole dans le
monde, et qu'il n'y a qu'un seul Dieu.
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Car, s'il est des êtres qui sont appelés dieux, soit
dans le ciel, soit sur la terre, comme il existe
réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs,
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néanmoins pour nous il n'y a qu'un seul Dieu, le Père,
de qui viennent toutes choses et pour qui nous sommes, et
un seul Seigneur, Jésus Christ, par qui sont toutes
choses et par qui nous sommes.
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|
|
Mais cette connaissance n'est pas chez tous.
Quelques-uns, d'après la manière dont ils envisagent
encore l'idole, mangent de ces viandes comme étant
sacrifiées aux idoles, et leur conscience, qui est
faible, en est souillée.
|
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|
Ce n'est pas un aliment qui nous rapproche de Dieu :
si nous en mangeons, nous n'avons rien de plus ; si nous
n'en mangeons pas, nous n'avons rien de moins.
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|
|
Prenez garde, toutefois, que votre liberté ne devienne
une pierre d'achoppement pour les faibles.
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|
Car, si quelqu'un te voit, toi qui as de la
connaissance, assis à table dans un temple d'idoles, sa
conscience, à lui qui est faible, ne le portera-t-elle
pas à manger des viandes sacrifiées aux idoles ?
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|
Et ainsi le faible périra par ta connaissance, le
frère pour lequel Christ est mort !
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En péchant de la sorte contre les frères, et en
blessant leur conscience faible, vous péchez contre
Christ.
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C'est pourquoi, si un aliment scandalise mon frère, je
ne mangerai jamais de viande, afin de ne pas scandaliser
mon frère.
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Ne suis-je pas libre ? Ne suis-je pas apôtre ? N'ai-je
pas vu Jésus notre Seigneur ? N'êtes-vous pas mon oeuvre
dans le Seigneur ?
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Si pour d'autres je ne suis pas apôtre, je le suis au
moins pour vous ; car vous êtes le sceau de mon apostolat
dans le Seigneur.
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C'est là ma défense contre ceux qui m'accusent.
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N'avons-nous pas le droit de manger et de boire ?
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N'avons-nous pas le droit de mener avec nous une soeur
qui soit notre femme, comme font les autres apôtres, et
les frères du Seigneur, et Céphas ?
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Ou bien, est-ce que moi seul et Barnabas nous n'avons
pas le droit de ne point travailler ?
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|
Qui jamais fait le service militaire à ses propres
frais ? Qui est-ce qui plante une vigne, et n'en mange
pas le fruit ? Qui est-ce qui fait paître un troupeau, et
ne se nourrit pas du lait du troupeau ?
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|
Ces choses que je dis, n'existent-elles que dans les
usages des hommes ? la loi ne les dit-elle pas aussi
?
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Car il est écrit dans la loi de Moïse : Tu
n'emmuselleras point le boeuf quand il foule le grain.
Dieu se met-il en peine des boeufs,
|
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|
|
ou parle-t-il uniquement à cause de nous ? Oui, c'est
à cause de nous qu'il a été écrit que celui qui laboure
doit labourer avec espérance, et celui qui foule le grain
fouler avec l'espérance d'y avoir part.
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|
|
Si nous avons semé parmi vous les biens spirituels,
est-ce une grosse affaire si nous moissonnons vos biens
temporels.
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|
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|
|
Si d'autres jouissent de ce droit sur vous, n'est-ce
pas plutôt à nous d'en jouir ? Mais nous n'avons point
usé de ce droit ; au contraire, nous souffrons tout, afin
de ne pas créer d'obstacle à l'Évangile de Christ.
|
|
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|
|
Ne savez-vous pas que ceux qui remplissent les
fonctions sacrées sont nourris par le temple, que ceux
qui servent à l'autel ont part à l'autel ?
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|
De même aussi, le Seigneur a ordonné à ceux qui
annoncent l'Évangile de vivre de l'Évangile.
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|
|
Pour moi, je n'ai usé d'aucun de ces droits, et ce
n'est pas afin de les réclamer en ma faveur que j'écris
ainsi ; car j'aimerais mieux mourir que de me laisser
enlever ce sujet de gloire.
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|
|
|
|
Si j'annonce l'Évangile, ce n'est pas pour moi un
sujet de gloire, car la nécessité m'en est imposée, et
malheur à moi si je n'annonce pas l'Évangile !
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|
Si je le fais de bon coeur, j'en ai la récompense ;
mais si je le fais malgré moi, c'est une charge qui m'est
confiée.
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|
Quelle est donc ma récompense ? C'est d'offrir
gratuitement l'Évangile que j'annonce, sans user de mon
droit de prédicateur de l'Évangile.
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|
Car, bien que je sois libre à l'égard de tous, je me
suis rendu le serviteur de tous, afin de gagner le plus
grand nombre.
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|
|
Avec les Juifs, j'ai été comme Juif, afin de gagner
les Juifs ; avec ceux qui sont sous la loi, comme sous la
loi (quoique je ne sois pas moi-même sous la loi), afin
de gagner ceux qui sont sous la loi ;
|
|
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|
|
avec ceux qui sont sans loi, comme sans loi (quoique
je ne sois point sans la loi de Dieu, étant sous la loi
de Christ), afin de gagner ceux qui sont sans loi.
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|
J'ai été faible avec les faibles, afin de gagner les
faibles. Je me suis fait tout à tous, afin d'en sauver de
toute manière quelques-uns.
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|
Je fais tout à cause de l'Évangile, afin d'y avoir
part.
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|
Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade
courent tous, mais qu'un seul remporte le prix ? Courez
de manière à le remporter.
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|
Tous ceux qui combattent s'imposent toute espèce
d'abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne
corruptible ; mais nous, faisons-le pour une couronne
incorruptible.
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|
|
Moi donc, je cours, non pas comme à l'aventure ; je
frappe, non pas comme battant l'air.
|
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|
Mais je traite durement mon corps et je le tiens
assujetti, de peur d'être moi-même rejeté, après avoir
prêché aux autres.
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|
|
Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères
ont tous été sous la nuée, qu'ils ont tous passé au
travers de la mer,
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qu'ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et
dans la mer,
|
|
|
|
|
qu'ils ont tous mangé le même aliment spirituel,
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|
|
et qu'ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car
ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce
rocher était Christ.
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|
|
Mais la plupart d'entre eux ne furent point agréables
à Dieu, puisqu'ils périrent dans le désert.
|
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|
|
Or, ces choses sont arrivées pour nous servir
d'exemples, afin que nous n'ayons pas de mauvais désirs,
comme ils en ont eu.
|
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|
|
Ne devenez point idolâtres, comme quelques-uns d'eux,
selon qu'il est écrit : Le peuple s'assit pour manger et
pour boire ; puis ils se levèrent pour se divertir.
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|
Ne nous livrons point à l'impudicité, comme
quelques-uns d'eux s'y livrèrent, de sorte qu'il en tomba
vingt-trois mille en un seul jour.
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|
|
Ne tentons point le Seigneur, comme le tentèrent
quelques-uns d'eux, qui périrent par les serpents.
|
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|
|
|
Ne murmurez point, comme murmurèrent quelques-uns
d'eux, qui périrent par l'exterminateur.
|
|
|
|
|
Ces choses leur sont arrivées pour servir d'exemples,
et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous
qui sommes parvenus à la fin des siècles.
|
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|
|
Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne
garde de tomber !
|
|
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|
|
Aucune tentation ne vous est survenue qui n'ait été
humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que
vous soyez tentés au delà de vos forces ; mais avec la
tentation il préparera aussi le moyen d'en sortir, afin
que vous puissiez la supporter.
|
|
|
|
|
C'est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l'idolâtrie.
|
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|
|
|
Je parle comme à des hommes intelligents ; jugez
vous-mêmes de ce que je dis.
|
|
|
|
|
La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle
pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous
rompons, n'est-il pas la communion au corps de Christ
?
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|
|
Puisqu'il y a un seul pain, nous qui sommes plusieurs,
nous formons un seul corps ; car nous participons tous à
un même pain.
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|
Voyez les Israélites selon la chair : ceux qui mangent
les victimes ne sont-ils pas en communion avec l'autel
?
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|
|
Que dis-je donc ? Que la viande sacrifiée aux idoles
est quelque chose, ou qu'une idole est quelque chose ?
Nullement.
|
|
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|
Je dis que ce qu'on sacrifie, on le sacrifie à des
démons, et non à Dieu ; or, je ne veux pas que vous soyez
en communion avec les démons.
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|
|
Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe
des démons ; vous ne pouvez participer à la table du
Seigneur, et à la table des démons.
|
|
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|
|
Voulons-nous provoquer la jalousie du Seigneur ?
Sommes-nous plus forts que lui ?
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|
Tout est permis, mais tout n'est pas utile ; tout est
permis, mais tout n'édifie pas.
|
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|
Que personne ne cherche son propre intérêt, mais que
chacun cherche celui d'autrui.
|
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|
|
|
Mangez de tout ce qui se vend au marché, sans vous
enquérir de rien par motif de conscience ;
|
|
|
|
|
car la terre est au Seigneur, et tout ce qu'elle
renferme.
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|
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Si un non-croyant vous invite et que vous vouliez
aller, mangez de tout ce qu'on vous présentera, sans vous
enquérir de rien par motif de conscience.
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|
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|
|
Mais si quelqu'un vous dit : Ceci a été offert en
sacrifice ! n'en mangez pas, à cause de celui qui a donné
l'avertissement, et à cause de la conscience.
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|
|
Je parle ici, non de votre conscience, mais de celle
de l'autre. Pourquoi, en effet, ma liberté serait-elle
jugée par une conscience étrangère ?
|
|
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|
Si je mange avec actions de grâces, pourquoi serais-je
blâmé au sujet d'une chose dont je rends grâces ?
|
|
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|
|
Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit
que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la
gloire de Dieu.
|
|
|
|
|
Ne soyez en scandale ni aux Grecs, ni aux Juifs, ni à
l'Église de Dieu,
|
|
|
|
|
de la même manière que moi aussi je m'efforce en
toutes choses de complaire à tous, cherchant, non mon
avantage, mais celui du plus grand nombre, afin qu'ils
soient sauvés.
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|
|
|
|
|
|
Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de
Christ.
|
|
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|
|
Je vous loue de ce que vous vous souvenez de moi à
tous égards, et de ce que vous retenez mes instructions
telles que je vous les ai données.
|
|
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|
|
Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le
chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme,
et que Dieu est le chef de Christ.
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|
|
|
|
Tout homme qui prie ou qui prophétise, la tête
couverte, déshonore son chef.
|
|
|
|
|
Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophétise,
la tête non voilée, déshonore son chef : c'est comme si
elle était rasée.
|
|
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|
|
Car si une femme n'est pas voilée, qu'elle se coupe
aussi les cheveux. Or, s'il est honteux pour une femme
d'avoir les cheveux coupés ou d'être rasée, qu'elle se
voile.
|
|
|
|
|
L'homme ne doit pas se couvrir la tête, puisqu'il est
l'image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la
gloire de l'homme.
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|
|
En effet, l'homme n'a pas été tiré de la femme, mais
la femme a été tirée de l'homme ;
|
|
|
|
|
et l'homme n'a pas été créé à cause de la femme, mais
la femme a été créée à cause de l'homme.
|
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|
|
|
C'est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir
sur la tête une marque de l'autorité dont elle
dépend.
|
|
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|
|
Toutefois, dans le Seigneur, la femme n'est point sans
l'homme, ni l'homme sans la femme.
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|
|
Car, de même que la femme a été tirée de l'homme, de
même l'homme existe par la femme, et tout vient de
Dieu.
|
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|
Jugez-en vous-mêmes : est-il convenable qu'une femme
prie Dieu sans être voilée ?
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|
|
La nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que
c'est une honte pour l'homme de porter de longs
cheveux,
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|
|
|
|
mais que c'est une gloire pour la femme d'en porter,
parce que la chevelure lui a été donnée comme voile ?
|
|
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|
|
Si quelqu'un se plaît à contester, nous n'avons pas
cette habitude, non plus que les Églises de Dieu.
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|
|
En donnant cet avertissement, ce que je ne loue point,
c'est que vous vous assemblez, non pour devenir
meilleurs, mais pour devenir pires.
|
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|
Et d'abord, j'apprends que, lorsque vous vous
réunissez en assemblée, il y a parmi vous des divisions,
-et je le crois en partie,
|
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car il faut qu'il y ait aussi des sectes parmi vous,
afin que ceux qui sont approuvés soient reconnus comme
tels au milieu de vous. -
|
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|
|
Lors donc que vous vous réunissez, ce n'est pas pour
manger le repas du Seigneur ;
|
|
|
|
|
car, quand on se met à table, chacun commence par
prendre son propre repas, et l'un a faim, tandis que
l'autre est ivre.
|
|
|
|
|
N'avez-vous pas des maisons pour y manger et boire ?
Ou méprisez-vous l'Église de Dieu, et faites-vous honte à
ceux qui n'ont rien ? Que vous dirai-je ? Vous louerai-je
? En cela je ne vous loue point.
|
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|
|
|
Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ;
c'est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut
livré, prit du pain,
|
|
|
|
|
et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci
est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en
mémoire de moi.
|
|
|
|
|
De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit :
Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites
ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en
boirez.
|
|
|
|
|
Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que
vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du
Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.
|
|
|
|
|
C'est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la
coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le
corps et le sang du Seigneur.
|
|
|
|
|
Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il
mange du pain et boive de la coupe ;
|
|
|
|
|
car celui qui mange et boit sans discerner le corps du
Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même.
|
|
|
|
|
C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup
d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre sont
morts.
|
|
|
|
|
Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas
jugés.
|
|
|
|
|
Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par
le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec
le monde.
|
|
|
|
|
Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le
repas, attendez-vous les uns les autres.
|
|
|
|
|
Si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que
vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur
vous. Je réglerai les autres choses quand je serai
arrivé.
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|
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|
|
|
|
Pour ce qui concerne les dons spirituels, je ne veux
pas, frères, que vous soyez dans l'ignorance.
|
|
|
|
|
Vous savez que, lorsque vous étiez païens, vous vous
laissiez entraîner vers les idoles muettes, selon que
vous étiez conduits.
|
|
|
|
|
C'est pourquoi je vous déclare que nul, s'il parle par
l'Esprit de Dieu, ne dit : Jésus est anathème ! et que
nul ne peut dire : Jésus est le Seigneur ! si ce n'est
par le Saint Esprit.
|
|
|
|
|
Il y a diversité de dons, mais le même Esprit ;
|
|
|
|
|
diversité de ministères, mais le même Seigneur ;
|
|
|
|
|
diversité d'opérations, mais le même Dieu qui opère
tout en tous.
|
|
|
|
|
Or, à chacun la manifestation de l'Esprit est donnée
pour l'utilité commune.
|
|
|
|
|
En effet, à l'un est donnée par l'Esprit une parole de
sagesse ; à un autre, une parole de connaissance, selon
le même Esprit ;
|
|
|
|
|
à un autre, la foi, par le même Esprit ; à un autre,
le don des guérisons, par le même Esprit ;
|
|
|
|
|
à un autre, le don d'opérer des miracles ; à un autre,
la prophétie ; à un autre, le discernement des esprits ;
à un autre, la diversité des langues ; à un autre,
l'interprétation des langues.
|
|
|
|
|
Un seul et même Esprit opère toutes ces choses, les
distribuant à chacun en particulier comme il veut.
|
|
|
|
|
Car, comme le corps est un et a plusieurs membres, et
comme tous les membres du corps, malgré leur nombre, ne
forment qu'un seul corps, ainsi en est-il de Christ.
|
|
|
|
|
Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul
Esprit, pour former un seul corps, soit Juifs, soit
Grecs, soit esclaves, soit libres, et nous avons tous été
abreuvés d'un seul Esprit.
|
|
|
|
|
Ainsi le corps n'est pas un seul membre, mais il est
formé de plusieurs membres.
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|
|
|
|
Si le pied disait : Parce que je ne suis pas une main,
je ne suis pas du corps-ne serait-il pas du corps pour
cela ?
|
|
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|
|
Et si l'oreille disait : Parce que je ne suis pas un
oeil, je ne suis pas du corps, -ne serait-elle pas du
corps pour cela ?
|
|
|
|
|
Si tout le corps était oeil, où serait l'ouïe ? S'il
était tout ouïe, où serait l'odorat ?
|
|
|
|
|
Maintenant Dieu a placé chacun des membres dans le
corps comme il a voulu.
|
|
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|
|
Si tous étaient un seul membre, où serait le corps
?
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|
|
|
|
Maintenant donc il y a plusieurs membres, et un seul
corps.
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|
|
L'oeil ne peut pas dire à la main : Je n'ai pas besoin
de toi ; ni la tête dire aux pieds : Je n'ai pas besoin
de vous.
|
|
|
|
|
Mais bien plutôt, les membres du corps qui paraissent
être les plus faibles sont nécessaires ;
|
|
|
|
|
et ceux que nous estimons être les moins honorables du
corps, nous les entourons d'un plus grand honneur. Ainsi
nos membres les moins honnêtes reçoivent le plus
d'honneur,
|
|
|
|
|
tandis que ceux qui sont honnêtes n'en ont pas besoin.
Dieu a disposé le corps de manière à donner plus
d'honneur à ce qui en manquait,
|
|
|
|
|
afin qu'il n'y ait pas de division dans le corps, mais
que les membres aient également soin les uns des
autres.
|
|
|
|
|
Et si un membre souffre, tous les membres souffrent
avec lui ; si un membre est honoré, tous les membres se
réjouissent avec lui.
|
|
|
|
|
Vous êtes le corps de Christ, et vous êtes ses
membres, chacun pour sa part.
|
|
|
|
|
Et Dieu a établi dans l'Église premièrement des
apôtres, secondement des prophètes, troisièmement des
docteurs, ensuite ceux qui ont le don des miracles, puis
ceux qui ont les dons de guérir, de secourir, de
gouverner, de parler diverses langues.
|
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|
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|
Tous sont-ils apôtres ? Tous sont-ils prophètes ? Tous
sont-ils docteurs ?
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Tous ont-ils le don des miracles ? Tous ont-ils le don
des guérisons ? Tous parlent-ils en langues ? Tous
interprètent-ils ?
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|
Aspirez aux dons les meilleurs. Et je vais encore vous
montrer une voie par excellence.
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|
Quand je parlerais les langues des hommes et des
anges, si je n'ai pas la charité, je suis un airain qui
résonne, ou une cymbale qui retentit.
|
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|
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|
Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de
tous les mystères et toute la connaissance, quand
j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des
montagnes, si je n'ai pas la charité, je ne suis
rien.
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Et quand je distribuerais tous mes biens pour la
nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps
pour être brûlé, si je n'ai pas la charité, cela ne me
sert de rien.
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La charité est patiente, elle est pleine de bonté ; la
charité n'est point envieuse ; la charité ne se vante
point, elle ne s'enfle point d'orgueil,
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elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche point
son intérêt, elle ne s'irrite point, elle ne soupçonne
point le mal,
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elle ne se réjouit point de l'injustice, mais elle se
réjouit de la vérité ;
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elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout,
elle supporte tout.
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La charité ne périt jamais. Les prophéties prendront
fin, les langues cesseront, la connaissance
disparaîtra.
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Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons
en partie,
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mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est
partiel disparaîtra.
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Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je
pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ;
lorsque je suis devenu homme, j'ai fait disparaître ce
qui était de l'enfant.
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Aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir, d'une
manière obscure, mais alors nous verrons face à face ;
aujourd'hui je connais en partie, mais alors je
connaîtrai comme j'ai été connu.
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Maintenant donc ces trois choses demeurent : la foi,
l'espérance, la charité ; mais la plus grande de ces
choses, c'est la charité.
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|
Recherchez la charité. Aspirez aussi aux dons
spirituels, mais surtout à celui de prophétie.
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En effet, celui qui parle en langue ne parle pas aux
hommes, mais à Dieu, car personne ne le comprend, et
c'est en esprit qu'il dit des mystères.
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Celui qui prophétise, au contraire, parle aux hommes,
les édifie, les exhorte, les console.
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Celui qui parle en langue s'édifie lui-même ; celui
qui prophétise édifie l'Église.
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|
Je désire que vous parliez tous en langues, mais
encore plus que vous prophétisiez. Celui qui prophétise
est plus grand que celui qui parle en langues, à moins
que ce dernier n'interprète, pour que l'Église en reçoive
de l'édification.
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|
Et maintenant, frères, de quelle utilité vous
serais-je, si je venais à vous parlant en langues, et si
je ne vous parlais pas par révélation, ou par
connaissance, ou par prophétie, ou par doctrine ?
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|
Si les objets inanimés qui rendent un son, comme une
flûte ou une harpe, ne rendent pas des sons distincts,
comment reconnaîtra-t-on ce qui est joué sur la flûte ou
sur la harpe ?
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|
Et si la trompette rend un son confus, qui se
préparera au combat ?
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De même vous, si par la langue vous ne donnez pas une
parole distincte, comment saura-t-on ce que vous dites ?
Car vous parlerez en l'air.
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|
Quelque nombreuses que puissent être dans le monde les
diverses langues, il n'en est aucune qui ne soit une
langue intelligible ;
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si donc je ne connais pas le sens de la langue, je
serai un barbare pour celui qui parle, et celui qui parle
sera un barbare pour moi.
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|
De même vous, puisque vous aspirez aux dons
spirituels, que ce soit pour l'édification de l'Église
que vous cherchiez à en posséder abondamment.
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|
C'est pourquoi, que celui qui parle en langue prie
pour avoir le don d'interpréter.
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|
Car si je prie en langue, mon esprit est en prière,
mais mon intelligence demeure stérile.
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|
Que faire donc ? Je prierai par l'esprit, mais je
prierai aussi avec l'intelligence ; je chanterai par
l'esprit, mais je chanterai aussi avec
l'intelligence.
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|
|
Autrement, si tu rends grâces par l'esprit, comment
celui qui est dans les rangs de l'homme du peuple
répondra-t-il Amen ! à ton action de grâces, puisqu'il ne
sait pas ce que tu dis ?
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|
|
Tu rends, il est vrai, d'excellentes actions de
grâces, mais l'autre n'est pas édifié.
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|
|
Je rends grâces à Dieu de ce que je parle en langue
plus que vous tous ;
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|
mais, dans l'Église, j'aime mieux dire cinq paroles
avec mon intelligence, afin d'instruire aussi les autres,
que dix mille paroles en langue.
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|
|
Frères, ne soyez pas des enfants sous le rapport du
jugement ; mais pour la malice, soyez enfants, et, à
l'égard du jugement, soyez des hommes faits.
|
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|
Il est écrit dans la loi : C'est par des hommes d'une
autre langue Et par des lèvres d'étrangers Que je
parlerai à ce peuple, Et ils ne m'écouteront pas même
ainsi, dit le Seigneur.
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|
|
Par conséquent, les langues sont un signe, non pour
les croyants, mais pour les non-croyants ; la prophétie,
au contraire, est un signe, non pour les non-croyants,
mais pour les croyants.
|
|
|
|
|
Si donc, dans une assemblée de l'Église entière, tous
parlent en langues, et qu'il survienne des hommes du
peuple ou des non-croyants, ne diront-ils pas que vous
êtes fous ?
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|
|
Mais si tous prophétisent, et qu'il survienne quelque
non-croyant ou un homme du peuple, il est convaincu par
tous, il est jugé par tous,
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|
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|
|
les secrets de son coeur sont dévoilés, de telle sorte
que, tombant sur sa face, il adorera Dieu, et publiera
que Dieu est réellement au milieu de vous.
|
|
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|
|
Que faire donc, frères ? Lorsque vous vous assemblez,
les uns ou les autres parmi vous ont-ils un cantique, une
instruction, une révélation, une langue, une
interprétation, que tout se fasse pour l'édification.
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|
|
En est-il qui parlent en langue, que deux ou trois au
plus parlent, chacun à son tour, et que quelqu'un
interprète ;
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s'il n'y a point d'interprète, qu'on se taise dans
l'Église, et qu'on parle à soi-même et à Dieu.
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|
Pour ce qui est des prophètes, que deux ou trois
parlent, et que les autres jugent ;
|
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|
|
et si un autre qui est assis a une révélation, que le
premier se taise.
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|
Car vous pouvez tous prophétiser successivement, afin
que tous soient instruits et que tous soient
exhortés.
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|
Les esprits des prophètes sont soumis aux prophètes
;
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|
car Dieu n'est pas un Dieu de désordre, mais de paix.
Comme dans toutes les Églises des saints,
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|
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que les femmes se taisent dans les assemblées, car il
ne leur est pas permis d'y parler ; mais qu'elles soient
soumises, selon que le dit aussi la loi.
|
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|
Si elles veulent s'instruire sur quelque chose,
qu'elles interrogent leurs maris à la maison ; car il est
malséant à une femme de parler dans l'Église.
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|
|
Est-ce de chez vous que la parole de Dieu est sortie ?
ou est-ce à vous seuls qu'elle est parvenue ?
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|
Si quelqu'un croit être prophète ou inspiré, qu'il
reconnaisse que ce que je vous écris est un commandement
du Seigneur.
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|
Et si quelqu'un l'ignore, qu'il l'ignore.
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|
|
Ainsi donc, frères, aspirez au don de prophétie, et
n'empêchez pas de parler en langues.
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|
Mais que tout se fasse avec bienséance et avec
ordre.
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|
Je vous rappelle, frères, l'Évangile que je vous ai
annoncé, que vous avez reçu, dans lequel vous avez
persévéré,
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|
et par lequel vous êtes sauvés, si vous le retenez tel
que je vous l'ai annoncé ; autrement, vous auriez cru en
vain.
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|
Je vous ai enseigné avant tout, comme je l'avais aussi
reçu, que Christ est mort pour nos péchés, selon les
Écritures ;
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|
qu'il a été enseveli, et qu'il est ressuscité le
troisième jour, selon les Écritures ;
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|
|
|
et qu'il est apparu à Céphas, puis aux douze.
|
|
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|
|
Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à
la fois, dont la plupart sont encore vivants, et dont
quelques-uns sont morts.
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|
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|
|
Ensuite, il est apparu à Jacques, puis à tous les
apôtres.
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|
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|
|
Après eux tous, il m'est aussi apparu à moi, comme à
l'avorton ;
|
|
|
|
|
car je suis le moindre des apôtres, je ne suis pas
digne d'être appelé apôtre, parce que j'ai persécuté
l'Église de Dieu.
|
|
|
|
|
Par la grâce de Dieu je suis ce que je suis, et sa
grâce envers moi n'a pas été vaine ; loin de là, j'ai
travaillé plus qu'eux tous, non pas moi toutefois, mais
la grâce de Dieu qui est avec moi.
|
|
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|
|
Ainsi donc, que ce soit moi, que ce soient eux, voilà
ce que nous prêchons, et c'est ce que vous avez cru.
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|
|
|
Or, si l'on prêche que Christ est ressuscité des
morts, comment quelques-uns parmi vous disent-ils qu'il
n'y a point de résurrection des morts ?
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|
S'il n'y a point de résurrection des morts, Christ non
plus n'est pas ressuscité.
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|
|
Et si Christ n'est pas ressuscité, notre prédication
est donc vaine, et votre foi aussi est vaine.
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|
|
Il se trouve même que nous sommes de faux témoins à
l'égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu
qu'il a ressuscité Christ, tandis qu'il ne l'aurait pas
ressuscité, si les morts ne ressuscitent point.
|
|
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|
|
Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non
plus n'est pas ressuscité.
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|
|
|
Et si Christ n'est pas ressuscité, votre foi est
vaine, vous êtes encore dans vos péchés,
|
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|
|
et par conséquent aussi ceux qui sont morts en Christ
sont perdus.
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|
|
Si c'est dans cette vie seulement que nous espérons en
Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les
hommes.
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|
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|
|
Mais maintenant, Christ est ressuscité des morts, il
est les prémices de ceux qui sont morts.
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|
Car, puisque la mort est venue par un homme, c'est
aussi par un homme qu'est venue la résurrection des
morts.
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|
|
Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous
revivront en Christ,
|
|
|
|
|
mais chacun en son rang. Christ comme prémices, puis
ceux qui appartiennent à Christ, lors de son
avènement.
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|
|
Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à
celui qui est Dieu et Père, après avoir détruit toute
domination, toute autorité et toute puissance.
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|
Car il faut qu'il règne jusqu'à ce qu'il ait mis tous
les ennemis sous ses pieds.
|
|
|
|
|
Le dernier ennemi qui sera détruit, c'est la mort.
|
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|
|
|
Dieu, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais
lorsqu'il dit que tout lui a été soumis, il est évident
que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté.
|
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|
Et lorsque toutes choses lui auront été soumises,
alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a
soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en
tous.
|
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|
|
Autrement, que feraient ceux qui se font baptiser pour
les morts ? Si les morts ne ressuscitent absolument pas,
pourquoi se font-ils baptiser pour eux ?
|
|
|
|
|
Et nous, pourquoi sommes-nous à toute heure en péril
?
|
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|
|
Chaque jour je suis exposé à la mort, je l'atteste,
frères, par la gloire dont vous êtes pour moi le sujet,
en Jésus Christ notre Seigneur.
|
|
|
|
|
Si c'est dans des vues humaines que j'ai combattu
contre les bêtes à Éphèse, quel avantage m'en revient-il
? Si les morts ne ressuscitent pas, Mangeons et buvons,
car demain nous mourrons.
|
|
|
|
|
Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies
corrompent les bonnes moeurs.
|
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|
|
Revenez à vous-mêmes, comme il est convenable, et ne
péchez point ; car quelques-uns ne connaissent pas Dieu,
je le dis à votre honte.
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|
Mais quelqu'un dira : Comment les morts
ressuscitent-ils, et avec quel corps reviennent-ils ?
|
|
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|
Insensé ! ce que tu sèmes ne reprend point vie, s'il
ne meurt.
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|
Et ce que tu sèmes, ce n'est pas le corps qui naîtra ;
c'est un simple grain, de blé peut-être, ou de quelque
autre semence ;
|
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|
|
|
puis Dieu lui donne un corps comme il lui plaît, et à
chaque semence il donne un corps qui lui est propre.
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|
Toute chair n'est pas la même chair ; mais autre est
la chair des hommes, autre celle des quadrupèdes, autre
celle des oiseaux, autre celle des poissons.
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|
Il y a aussi des corps célestes et des corps
terrestres ; mais autre est l'éclat des corps célestes,
autre celui des corps terrestres.
|
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|
|
Autre est l'éclat du soleil, autre l'éclat de la lune,
et autre l'éclat des étoiles ; même une étoile diffère en
éclat d'une autre étoile.
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|
Ainsi en est-il de la résurrection des morts. Le corps
est semé corruptible ; il ressuscite incorruptible ;
|
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|
il est semé méprisable, il ressuscite glorieux ; il
est semé infirme, il ressuscite plein de force ;
|
|
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|
|
il est semé corps animal, il ressuscite corps
spirituel. S'il y a un corps animal, il y a aussi un
corps spirituel.
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|
C'est pourquoi il est écrit : Le premier homme, Adam,
devint une âme vivante. Le dernier Adam est devenu un
esprit vivifiant.
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|
Mais ce qui est spirituel n'est pas le premier, c'est
ce qui est animal ; ce qui est spirituel vient
ensuite.
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|
|
Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre ; le
second homme est du ciel.
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|
Tel est le terrestre, tels sont aussi les terrestres ;
et tel est le céleste, tels sont aussi les célestes.
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|
Et de même que nous avons porté l'image du terrestre,
nous porterons aussi l'image du céleste.
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|
Ce que je dis, frères, c'est que la chair et le sang
ne peuvent hériter le royaume de Dieu, et que la
corruption n'hérite pas l'incorruptibilité.
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|
Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas
tous, mais tous nous serons changés,
|
|
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|
en un instant, en un clin d'oeil, à la dernière
trompette. La trompette sonnera, et les morts
ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons
changés.
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|
Car il faut que ce corps corruptible revête
l'incorruptibilité, et que ce corps mortel revête
l'immortalité.
|
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|
|
Lorsque ce corps corruptible aura revêtu
l'incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu
l'immortalité, alors s'accomplira la parole qui est
écrite : La mort a été engloutie dans la victoire.
|
|
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|
|
O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton
aiguillon ?
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|
L'aiguillon de la mort, c'est le péché ; et la
puissance du péché, c'est la loi.
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|
|
Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la
victoire par notre Seigneur Jésus Christ !
|
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|
Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes,
inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l'oeuvre
du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain
dans le Seigneur.
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|
Pour ce qui concerne la collecte en faveur des saints,
agissez, vous aussi, comme je l'ai ordonné aux Églises de
la Galatie.
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|
|
Que chacun de vous, le premier jour de la semaine,
mette à part chez lui ce qu'il pourra, selon sa
prospérité, afin qu'on n'attende pas mon arrivée pour
recueillir les dons.
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|
|
Et quand je serai venu, j'enverrai avec des lettres,
pour porter vos libéralités à Jérusalem, les personnes
que vous aurez approuvées.
|
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|
Si la chose mérite que j'y aille moi-même, elles
feront le voyage avec moi.
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|
J'irai chez vous quand j'aurai traversé la Macédoine,
car je traverserai la Macédoine.
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|
Peut-être séjournerai-je auprès de vous, ou même y
passerai-je l'hiver, afin que vous m'accompagniez là où
je me rendrai.
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|
Je ne veux pas cette fois vous voir en passant, mais
j'espère demeurer quelque temps auprès de vous, si le
Seigneur le permet.
|
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|
|
Je resterai néanmoins à Éphèse jusqu'à la Pentecôte
;
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|
|
|
car une porte grande et d'un accès efficace m'est
ouverte, et les adversaires sont nombreux.
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|
|
Si Timothée arrive, faites en sorte qu'il soit sans
crainte parmi vous, car il travaille comme moi à l'oeuvre
du Seigneur.
|
|
|
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|
Que personne donc ne le méprise. Accompagnez-le en
paix, afin qu'il vienne vers moi, car je l'attends avec
les frères.
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|
Pour ce qui est du frère Apollos, je l'ai beaucoup
exhorté à se rendre chez vous avec les frères, mais ce
n'était décidément pas sa volonté de le faire maintenant
; il partira quand il en aura l'occasion.
|
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|
Veillez, demeurez fermes dans la foi, soyez des
hommes, fortifiez-vous.
|
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|
Que tout ce que vous faites se fasse avec charité
!
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|
|
Encore une recommandation que je vous adresse, frères.
Vous savez que la famille de Stéphanas est les prémices
de l'Achaïe, et qu'elle s'est dévouée au service des
saints.
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|
|
Ayez vous aussi de la déférence pour de tels hommes,
et pour tous ceux qui travaillent à la même oeuvre.
|
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|
|
Je me réjouis de la présence de Stéphanas, de
Fortunatus et d'Achaïcus ; ils ont suppléé à votre
absence,
|
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|
car ils ont tranquillisé mon esprit et le vôtre.
Sachez donc apprécier de tels hommes.
|
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|
Les Églises d'Asie vous saluent. Aquilas et Priscille,
avec l'Église qui est dans leur maison, vous saluent
beaucoup dans le Seigneur.
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|
|
Tous les frères vous saluent. Saluez-vous les uns les
autres par un saint baiser.
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|
Je vous salue, moi Paul, de ma propre main.
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|
Si quelqu'un n'aime pas le Seigneur, qu'il soit
anathème ! Maranatha.
|
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|
Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec vous !
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|
Mon amour est avec vous tous en Jésus Christ.
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